Le 22 février 2023, le journal La commère du 43 (qui, en l'occurrence, porte bien son nom…) a commis un article intitulé "Il prétend vendre de la pub pour le magazine de la gendarmerie : des démarchages frauduleux signalés" . Une «info» soufflée par une brigade de gendarmerie locale. mais aujoud'hui démentie par la compagnie d'yssingeaux, via le même journal !
Or, si tout est exact dans cet article, rien n’est fautif dans les faits relatés!
Il est exact que L’Essor de la Gendarmerie existe, depuis 87 ans. C’est même la voix d’expression des gendarmes, une institution célébrée comme telle par l’ex-directeur général de l'Arme Denis Favier.
Il est exact que L’Essor, pour être indépendant, ne vit que de ses abonnements et de ses annonceurs.
Il est exact que notre régie exclusive est Media Obs, une régie nationale bien connue.
Par exception, nos pages «partenaires» font l’objet d’une prospection de terrain, à laquelle la société RNPi participe. Or, l’agent commercial cité dans l’article collabore effectivement avec RNPi.
Aucune faute n’a été relevée concernant ce démarchage. Le secrétariat du Groupement de gendarmerie départementale de Haute-Loire (GGD43), commandé par le colonel Maxime Viornery, en a donné acte à la société RNPi.
S’agissant de la politique commerciale de L’Essor, nous accueillons avec plaisir, dans ces pages «partenaires», tout annonceur national ou régional. Et si –mais est-ce possible?…– des arguments de vente inexacts ou fallacieux étaient utilisés, nous encourageons les entreprises démarchées à porter plainte, étant assurées que nous nous joindrons à cette plainte, en nous constituant partie civile.
En fait, beaucoup d’entreprises sont méfiantes par rapport à de tels démarchages, et on les comprend: toutes sortes d’aigrefins prospectent pour des titres fantômes (sans journalistes, sans abonnés, sans lecteurs…) ou des causes imaginaires… (sans bénéficiaire réel…). Mais ce n’est pas le cas de L'Essor, dont le passé est un présent, qui garantit son avenir, et sa moralité. Annoncer dans L’Essor est un honneur, qui vaut de l’or !
Alain Dumait