Après l’annonce de la transformation des prisons de Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais) et de Condé-sur-Sarthe (Orne) pour accueillir les 200 criminels parmi les plus dangereux actuellement détenus, le ministre de la Justice Gérald Darmanin a indiqué que d’ici le 15 octobre, ces « 200 narcotrafiquants seront totalement à l’isolement du reste de la société ». Mais ces prisons de haute sécurité pour les narcotrafiquants les plus dangereux vont elles permettre de stopper ces trafics, parfois gérés depuis les cellules ?
C’est la question posée par L’Essor à ses lecteurs pour le mois de mai 2025 :