Si vous êtes abonné, vous avez sans doute déjà en mains une nouvelle formule de L’Essor, réalisée avec EricThomas, directeur artistique, et toute notre équipe.
Le contenu évolue. Avec un effort d’illustration, dont vous êtes juge, amis lecteurs !
Un nouvel élan
C’est l’occasion d’un nouvel élan. Dans la fidélité à nos racines, qui remontent à l’initiative géniale d’un adjudant-chef, jeune retraité, nommé Jean Cousteix, et au travail de tous nos prédécesseurs, dont il nous plait de rappeler les noms chaque mois dans l’Ours de cette publication (page 3 du magazine).
Notre titre, L’Essor de la Gendarmerie nationale – que la Direction générale de l’Arme prétend aujourd’hui nous contester… – a été déposé à l’INPI en 1971. Notre journal, depuis, n’a cessé de se professionnaliser: au départ, un homme seul, remarquable ancien gendarme ; aujourd’hui une rédaction riche de sept cartes de presse de journalistes civils professionnels.
L’Essor s’est renforcé à l’occasion de chacune de ses épreuves, la dernière en date étant en juin 2019, la rupture unilatérale qui liait notre titre à l’UNPRG. L’Essor, depuis plus de 86 ans maintenant, a gardé la même ligne éditoriale (d’autres diraient «positionnement») : une indépendance absolue, au regard de quelque autre organisation que ce soit, d’une part ; une mobilisation permanente au service des personnels de la Gendarmerie, qui, aujourd’hui comme hier, sont essentiellement des sous-officiers.
Merci à vous, abonnés, lecteurs, internautes, qui nous suivaient en grand nombre sur nos réseaux sociaux. Merci aux quelques annonceurs fidèles qui nous soutiennent.
Alain Dumait, directeur de L’Essor de la Gendarmerie depuis 2012.
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