En décembre, L’Essor interroge ses lecteurs sur le dépôt de plainte en visioconférence

Photo : Il ne sera bientôt plus nécessaire de se déplacer dans une brigade ou un commissariat pour déposer une plainte. Les gendarmes et les policiers pourront sans doute la recevoir à distance, via une visioconférence. (Photo d'illustration / Pxhere)

1 décembre 2022 | Editos

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En décembre, L’Essor interroge ses lecteurs sur le dépôt de plainte en visioconférence

par | Editos

À l'avenir, gendarmes et policiers pourront peut-être recevoir des plaintes en visioconférence. Cette disposition vient d'être largement adoptée par les députés lors de l'examen de la Loi d’orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur (Lopmi). D'où la question du mois de décembre 2022 que L'Essor pose à ses lecteurs : Les députés viennent de […]

À l'avenir, gendarmes et policiers pourront peut-être recevoir des plaintes en visioconférence. Cette disposition vient d'être largement adoptée par les députés lors de l'examen de la Loi d’orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur (Lopmi).

D'où la question du mois de décembre 2022 que L'Essor pose à ses lecteurs :

Les députés viennent de donner leur accord à une disposition figurant dans la Loi d'orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur (Lopmi), introduisant le principe –pour certaines infractions– du dépôt de plainte par visioconférence. Y êtes-vous favorable ?

Répondre au questionnaire du mois de décembre 2022

Lopmi : les députés, favorables au dépôt de plainte en visio

Vos réponses à la question du mois de novembre 2022 sur l’utilité et l’efficacité des caméras-piétons.

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