Le maréchal des logis-chef Valentin Belaud peut encore croire en son rêve olympique

Photo : Valentin Belaud a marqué suffisamment de points à l'issue de l'escrime pour rester en course (crédit photo : UIPM)

6 août 2021 | Sports

Temps de lecture : 2 minutes

Le maréchal des logis-chef Valentin Belaud peut encore croire en son rêve olympique

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Rien n’est joué pour le maréchal des logis-chef Valentin Belaud. A l’issue de l’escrime, la première des cinq épreuves du pentathlon moderne, disputée jeudi, il s’est classé à la 19ème place sur 36. Lors de cette première étape du pentathlon moderne, l’ensemble des concurrents se rencontraient, dans des duels d’une minute en une seule touche. Après avoir disputé tous ses duels, Valentin Belaud affichait un bilan quasi équilibré de 19 victoires contre 18 défaites. Il a marqué suffisamment de points pour rester en course.

Très fort quand les épreuves s’enchaînent

Double champion du monde (2016 et 2019), Valentin Belaud a marqué suffisamment de points pour garder l’espoir de remonter au classement. En effet, après cette première épreuve, il accusait 42 points de retard sur le Britannique Joseph Choong, leader provisoire du classement. Mais tout reste possible. En effet, dès demain matin débutent les autres épreuves : la natation à 7h30 (heure française), le bonus round d’escrime (8h45), l’équitation (10h15) et enfin le laser run (12h30). Les épreuves vont ainsi s’enchaîner et c’est dans ces moments que Valentin Belaud sait se montrer à son meilleur niveau, comme il l’a déjà fait à plusieurs reprises par le passé. 

Il attend la suite avec impatience

Handicapé par des douleurs au dos lors de l’épreuve d’escrime, Valentin Belaud a pu bénéficier d’une journée de récupération. Le gendarme est convaincu qu’il peut encore viser très haut lors de cette série d’épreuves à la fois éprouvantes et décisives. "J'aurais voulu mettre plus de touches, il m'en manque un peu par rapport à ce que je voulais faire. Une escrime assez dure quand même dès le début. On est aux Jeux, il y a une vraie intensité. Je me suis battu tout du long, il y a eu des moments assez difficiles. J'ai un peu mal au dos, je fais avec. Le pentathlon c'est un marathon, j'attends la suite avec impatience" prévient-il sur L’Equipe.fr. 

F.S.

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