Sur la base de notre consultation, on peut d’abord remarquer que les candidats de gauche figurant dans la sélection de huit candidats placés en tête dans tous les sondages… ne retiennent pas les suffrages des participants : à peine plus de 1 % pour la candidate du PS Anne Hidalgo ; encore moins pour l’écologiste Yannick Jadot et le communiste Fabien Roussel. Jean-Luc Mélenchon, candidat de La France insoumise, atteint 3,7 %, un score obtenu après redressement : en effet, nous avons dû éliminer un certain nombre de votes, tous tombés en quelques minutes et allant tous dans le même sens, le 5 mars, dans l’intention manifeste de fausser les résultats.
Les candidats "de droite" plébiscités
Occasion de redire que ces "questions du mois" ne sont en rien des sondages, avec la méthodologie de ceux-ci. Jusqu’en février, nous utilisions un outil de questionnaire dénommé "Typeform". Il n’interdisait pas à une même personne de participer plusieurs fois… Un internaute facétieux (et hostile) s’est d’ailleurs vanté sur les réseaux sociaux de le faire ! Nous avons donc opté pour un autre outil, "SurveyMonkey", qui empêche les votes multiples. Mais pas le rameutage…
Pour assurer l’avenir de la Gendarmerie, nos lecteurs préfèrent globalement les candidats "de droite" : Eric Zemmour, 44,03 % des suffrages exprimés ; Marine Le Pen, 14,20 % ; Valérie Pécresse, 6,79 %. Soit, ensemble, les deux tiers des votes. Emmanuel Macron, qui se veut "ni droite, ni gauche", avec 29,22 % des préférences des gendarmes participant à cette consultation, affiche ici un score très proche des intentions de vote au premier tour que les sondages lui accordent à ce jour…
