<i class='fa fa-lock' aria-hidden='true'></i> Déjà des arnaques autour de l’invasion russe en Ukraine

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28 février 2022 | Société

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Déjà des arnaques autour de l’invasion russe en Ukraine

par | Société

Décidément, les cybercriminels n’ont aucun cœur. Alors que le conflit entre la Russie et l’Ukraine vient de prendre une tournure meurtrière, des premiers faux appels aux dons viennent de faire leur apparition en ligne. La Gendarmerie vient d’alerter les internautes sur ce sujet, en rappelant deux règles d’or avant tout don. D’abord, vérifier l'authenticité du […]

Décidément, les cybercriminels n’ont aucun cœur. Alors que le conflit entre la Russie et l’Ukraine vient de prendre une tournure meurtrière, des premiers faux appels aux dons viennent de faire leur apparition en ligne.

La Gendarmerie vient d’alerter les internautes sur ce sujet, en rappelant deux règles d’or avant tout don. D’abord, vérifier l'authenticité du site internet recueillant le don. Ensuite, en cas de réception d’un mail incitant à faire un don, vérifier l’adresse de l’expéditeur.

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Malheureusement, rien de personnel dans ces arnaques. Les escrocs du web rebondissent sur l’actualité pour tenter de trouver de nouvelles victimes, c’est un phénomène classique. 

Le site d’information NBC News a par exemple repéré des diffusions en direct de personnes se faisant passer pour des habitants de l’Ukraine, sur le réseau social Tik Tok, appelant à des micro-dons. Comme le rappelle France 24, ces micro-dons, d’un montant modeste, peuvent aboutir à d’importants gains dans le cas d’un message devenu viral.

Si vous souhaitez faire un don, mieux vaut vous rendre directement sur des plateformes d’institutions reconnues, comme l’agence des Nations-Unies pour les réfugiés, qui a ouvert un appel aux dons pour soutenir les familles forcées de fuir leurs foyers.

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Vigilance demandée

Outre ces arnaques attendues, le ministère de l’Intérieur a appelé ses préfets à la vigilance face à un risque de cyberattaque élevé. A ce stade "aucun effet spécifique lié aux évènements en cours n'a été observé sur nos réseaux et nos systèmes d'information", précise le secrétaire général de la Place Beauvau, selon l’AFP, mais "une grande vigilance s'impose néanmoins de la part de tous".

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