Deux hommes interpellés près de Grenoble après des violences et des menaces contre des gendarmes

Photo : Deux hommes ont été arrêtés dans le cadre de l'enquête sur des violences subies par des gendarmes à Sayssinet-Pariset, près de Grenoble (Photo: DR).

13 octobre 2021 | Vie des personnels

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Deux hommes interpellés près de Grenoble après des violences et des menaces contre des gendarmes

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Une enquête rondement menée par les enquêteurs de la brigade territoriale autonome de Sassenage (Isère). Lundi 4 octobre, deux hommes soupçonnés d'avoir menacé et violenté des gendarmes qui intervenaient le 24 septembre à Sayssinet-Pariset ont été interpellés. Il assène plusieurs coups de poing à un des gendarmes Ce jour-là, les militaires circulaient dans les rues de […]

Une enquête rondement menée par les enquêteurs de la brigade territoriale autonome de Sassenage (Isère). Lundi 4 octobre, deux hommes soupçonnés d'avoir menacé et violenté des gendarmes qui intervenaient le 24 septembre à Sayssinet-Pariset ont été interpellés.

Il assène plusieurs coups de poing à un des gendarmes

Ce jour-là, les militaires circulaient dans les rues de cette ville de l’agglomération grenobloise après des appels de riverains signalant la présence d’individus agressifs. Leur véhicule a alors été percuté par un scooter non immatriculé dont le conducteur, sans casque, est tombé au sol avant de se mettre à hurler pour attirer l’attention. Les deux gendarmes se sont rapidement retrouvés encerclés par une dizaine d'hommes menaçants. Selon le procureur de Grenoble, Eric Vaillant, l'un d'eux a "(attrapé) l'un des deux militaires au niveau du cou avec son bras (lui portant) plusieurs coups de poing afin que le conducteur du scooter puisse s'enfuir". Les militaires ont réussi à s’extraire de ce guet-apens en faisant usage de leur bombe lacrymogène.

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Ouverte dans la foulée, l’enquête a permis d’interpeller deux suspects âgés de 26 et 35 ans. Le plus jeune, présenté en comparution immédiate, a été placé en détention provisoire dans l’attente de son jugement le 3 novembre pour des faits de violences et menaces commis à l'encontre des gendarmes. De son côté, le trentenaire a été relâché. Selon nos confrères de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, son état n’était pas compatible avec la garde à vue. Il sera convoqué ultérieurement.

Pour en savoir plus : lire l'article de France 3 Auvergne-Rhône-Alpes

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