<i class='fa fa-lock' aria-hidden='true'></i> Après la tuerie de Saint-Just, les légionnaires forment les gendarmes des pelotons d’intervention

Photo : Cyrille Morel, Rémi Dupuis et Arno Mavel, les trois gendarmes tués par un forcené à Saint-Just, dans le Puy-de-Dôme, mercredi 23 décembre 2020. (Photos: DR - Linkedin et Facebook)

8 octobre 2021 | Opérationnel

Temps de lecture : 2 minutes

Après la tuerie de Saint-Just, les légionnaires forment les gendarmes des pelotons d’intervention

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Pour préparer les gendarmes des pelotons de surveillance et d’intervention de la Gendarmerie (Psig) aux interventions les plus violentes, la Gendarmerie fait désormais appel à l'armée de Terre, et notamment à la Légion étrangère.  Après la tuerie de Saint-Just (Puy-de-Dome), qui avait vu un forcené tuer trois gendarmes le 23 décembre 2020, le directeur général […]

Pour préparer les gendarmes des pelotons de surveillance et d’intervention de la Gendarmerie (Psig) aux interventions les plus violentes, la Gendarmerie fait désormais appel à l'armée de Terre, et notamment à la Légion étrangère. 

Après la tuerie de Saint-Just (Puy-de-Dome), qui avait vu un forcené tuer trois gendarmes le 23 décembre 2020, le directeur général avait pris plusieurs décisions, dont celle de "rénover" la formation tactique des gendarmes des Psig. Le général Rodriguez avait alors précisé qu’ils solliciterait pour cela l'expertise de l'armée de Terre en matière d'engagement tactique sous le feu.

"Ça marche, on va continuer"

"Les légionnaires ont commencé à le faire ", a précisé le patron des gendarmes mercredi lors d’une audition à l’Assemblée nationale. "J’ai vu des Psig formés par des légionnaires, tout le monde était enchanté, et les légionnaires et les gendarmes


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