<i class='fa fa-lock' aria-hidden='true'></i> Le difficile chiffrage des actes de violences

Photo : Les élèves-gendarmes de l'école de Châtellerault apprennent à se défendre contre une agression (Photo: M.Guyot/L'Essor).

5 novembre 2021 | Société

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Le difficile chiffrage des actes de violences

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UN DOSSIER RÉALISÉ PAR LA RÉDACTION Les faits de violence soigneusement enregistrés augmentent globalement peu, sans doute de 2 à 3 % par an depuis cinq ans, mais leur nature évolue beaucoup. Certaines catégories baissent fortement, comme les cambriolages et les accidents de la route, mais d’autres bondissent littéralement : les violences à l’égard de tous […]

UN DOSSIER RÉALISÉ PAR LA RÉDACTION

Les faits de violence soigneusement enregistrés augmentent globalement peu, sans doute de 2 à 3 % par an depuis cinq ans, mais leur nature évolue beaucoup.

Certaines catégories baissent fortement, comme les cambriolages et les accidents de la route, mais d’autres bondissent littéralement : les violences à l’égard de tous les détenteurs d’autorité, spécialement les élus, les forces de l’ordre et les enseignants…

Et de nouvelles formes apparaissent, en particulier dans le champ numérique  : c’est la cybercriminalité, qui frappe chaque jour davantage.

Attention, les statistiques sont trompeuses  : chez les gendarmes, le nombre des blessés diminue, mais les agressions (pas toujours verbales) augmentent…

Les homicides aussi diminuent, mais les tentatives augmentent : parce que la sécurité privée s’est développée, et que la médecine d’urgence est plus efficace. Toujours est-il que le sentiment d’insécurité progresse…

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