Elargissement des compétences de l’Office central de lutte contre le travail illégal (OCLTI)

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30 juin 2021 | Opérationnel

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Elargissement des compétences de l’Office central de lutte contre le travail illégal (OCLTI)

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Un décret du 25 juin, paru dimanche au Journal officiel, élargit les compétences de l'Office central de lutte contre le travail illégal (OCLTI). Désormais, cet office, créé en 2005, étend donc son champ d'activités aux "formes graves d'exploitation au travail et à la fraude sociale". L'OCLTI est une structure rattachée à la Direction de la Gendarmerie. […]

Un décret du 25 juin, paru dimanche au Journal officiel, élargit les compétences de l'Office central de lutte contre le travail illégal (OCLTI). Désormais, cet office, créé en 2005, étend donc son champ d'activités aux "formes graves d'exploitation au travail et à la fraude sociale".

L'OCLTI est une structure rattachée à la Direction de la Gendarmerie. Le général de Gendarmerie Philippe Thuriès commande l'OCLT depuis 2018. Il compte une quarantaine de personnels. Depuis 2018, la saisie d'avoirs criminels dans les enquêtes sur le travail illégal représente 15 % de l'ensemble des saisies réalisées par la Gendarmerie. Le bilan de l'office et des unités avec lesquelles il était co-saisi s'élève à près de 30 millions d'euros.

Le ministère de l'Intérieur regroupe 14 offices centraux. Quatre dépendent de la direction de la Gendarmerie: l’OCLTI, l’Office central de lutte contre la délinquance itinérante (OCLDI), l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp). Et la benjamin de ces 14 structures, l'Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité (OCLCH).

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