<i class='fa fa-lock' aria-hidden='true'></i> Mécaniciens : mains dans le cambouis, l’indispensable soutien opérationnel

Photo : Des mécaniciens de la Gendarmerie au travail. (L.Picard/L'Essor)

23 août 2022 | Opérationnel

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Mécaniciens : mains dans le cambouis, l’indispensable soutien opérationnel

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Leur filière est l’une des six spécialités du Corps de soutien technique et administratif de la Gendarmerie (CSTAGN). Les mécaniciens "auto-engin-blindé" œuvrent chaque jour au maintien en condition du matériel, notamment roulant, de l’Arme.

Les véhicules des gendarmes sont soumis à rude épreuve

Bruit suspect sous le capot, crevaison, système de freinage, suspension, vitre brisée… les véhicules des gendarmes sont soumis à rude épreuve. D’autant qu’ils affichent souvent un kilométrage très important.

Comme les autres militaires de la Gendarmerie, ces spécialistes de la mécanique peuvent être engagés en tant que volontaire (gendarme adjoint ou aspirant) pour des emplois particuliers, ou bien sur concours au sein du Corps de soutien technique et administratif de l’Arme.

Fanfare de cavalerie : en avant la musique

Outre la centaine d’ateliers et de centres de soutien, les mécaniciens peuvent être envoyés outre-mer, en opération extérieure, ou mobilisés lors d’événements comme le dernier G7 à Biarritz ou les actions de maintien de l’ordre à Notre-Dame-des-Landes.

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