Débloquer, ou pas, les barrages des agriculteurs en colère? Plutôt « non »…

Photo : Des gendarmes mobiles, renforcés par des véhicules blindés à roues de la Gendarmerie (VBRG), sécurisent l'accès au marché international de Rungis, en banlieue parisienne, ciblé par les agriculteurs en colère lundi 29 janvier 2024. (Capture d'écran: Missel_du/Twitter)

30 janvier 2024 | Société

Temps de lecture : < 1 minute

Débloquer, ou pas, les barrages des agriculteurs en colère? Plutôt « non »…

par | Société

Depuis toujours, la Gendarmerie a un charge la sécurité des voies de communication.
Or, depuis quinze jours, des milliers d'agriculteurs en colère bloquent routes et autoroutes et organisent des barrages avec leurs tracteurs.
Au total, en France, il y avait mercredi à la mi-journée plus de 80 blocages, 4.500 engins et 6.000 manifestants, selon une source policière à l'AFP.
Dans ces conditions, L'Essor a pris l'initiative d'interroge ses lecteurs internautes. La question suivante leur a été posée le 24 janvier :
– "Le gouvernement a déclaré qu'il n'était pas prévu de faire intervenir les forces de l'ordre pour lever les blocages installés par les agriculteurs. L'approuvez-vous ?"
Voici les réponses (623) :
– OUI : 56,2%
– NON : 38,7%
– Ne sais pas : 5,1%.

262 commentaires enregistrés !

Pour en prendre connaissance, c'est ici !

La Lettre Conflits

La newsletter de l’Essor de la Sécurité

Voir aussi