Un premier arrêté fixe a quinze le nombre maximum des recrutements dans le corps des officiers du corps technique et administratif de la gendarmerie nationale (CTAGN).
Un deuxième arrêté limite à 117 le nombre des recrutements dans le corps des officiers de gendarmerie par les écoles militaires ou pas la voie universitaire
Un troisième arrêté fixe à cinq Le nombre maximum de places offertes dans le corps des officiers du corps technique et administratif de la gendarmerie nationale (CTAGN) pour les sous-officiers.
Une quatrième arrêté limite à 68 le nombre des postes pour une nomination dans le corps des officiers de gendarmerie destinés aux gradés.
Respect de l’anonymat
Par ailleurs, les sous-officiers et les officiers affectés à la nouvelle Unité nationale de police judiciaire (UNPJ) de la gendarmerie se voient désormais astreints à l’anonymat par un arrêté. L’obligation de l’anonymat s’applique à plusieurs milliers de police et de gendarmes, affectés dans dans des unités ou des services sensibles. Le GIGN avait été la première unité en 1995 concernée par le respect de l’anonymat. C’est depuis cette date que les militaires de l’unité d’élite ont toujours le bas du visage masqué lors des cérémonies ou lors de leurs missions.
PMG










