Laurent Nuñez promet de servir « l’intérêt général » au-delà des « clivages partisans »

Photo : Laurent Nuñez, alors secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner lors d'une visite à la direction générale de la gendarmerie (Ph: M.GUYOT/ESSOR)

15 octobre 2025 | Société

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Laurent Nuñez promet de servir « l’intérêt général » au-delà des « clivages partisans »

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Dans un message adressé mardi aux agents du ministère de l'Intérieur, Laurent Nuñez a insisté sur ses 26 années d'expérience et son engagement à transcender les divisions politiques.

Le nouveau ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez a assuré, ce mardi 14 octobre, que se « mettre au service de l’intérêt général » était sa seule « ambition » et qu’elle « dépass(ait) tout clivage partisan ».

Dans un courriel adressé à l’ensemble des agents du ministère et dont l’AFP a eu connaissance, le numéro deux du gouvernement a insisté sur sa parfaite connaissance de la place Beauvau, où il a fait ses premiers pas en 1999 et ne l’a plus quitté.

« Après ces 26 années, je crois pouvoir vous écrire que je connais ce ministère par coeur – et j’allais dire même: ‘avec le coeur’« , a-t-il écrit, en promettant de continuer à se « mettre au service de l’intérêt général de toutes (ses) forces, sans jamais compter (son) temps ni (son) énergie ». « Je n’ai pas d’autre ambition que celle-ci et elle dépasse tout clivage partisan », a-t-il affirmé.

Laurent Nuñez a la réputation d’être proche du Président

Disant « sa fierté » et face à « l’immense responsabilité » que représente pour lui d’être à la tête de ce ministère, Laurent Nuñez a assuré être « tout à sa tâche, avec l’humilité qu’exige la période mais avec détermination », reprenant ainsi les consignes données lundi par le Premier ministre Sébastien Lecornu aux membres de son gouvernement.

L’ex-préfet de police de Paris, fut secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Intérieur Christophe Castaner (2018-2020). Il a également la réputation d’être proche du président Emmanuel Macron.

(AFP)

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Bruno Retailleau, pour lutter contre la violence et les narcotrafics en Guadeloupe, a confirmé l’installation de « deux escadrons de gendarmerie mobile, sans enlever le peloton de la garde républicaine », mais aussi de « deux brigades nautiques », une de gendarmerie et une de police respectivement en Basse-Terre à Gourbeyre et à Pointe-à-Pitre. Pensez-vous que cela sera une réponse satisfaisante ?

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