Près d’Orléans, un gendarme, en permission, fait évacuer un immeuble en feu

Photo : Le gendarme était en permission quand il a décidé d'évacuer un immeuble en proie à un incendie (photo l'Essor)

2 septembre 2025 | Opérationnel

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Près d’Orléans, un gendarme, en permission, fait évacuer un immeuble en feu

par | Opérationnel

Près d'Orléans, un gendarme, en permission, a fait évacuer un immeuble où un incendie s’était déclaré. Il a été aidé par une patrouille. Tous les habitants sont sortis indemnes.

À Châteauneuf-sur-Loire (Loiret), un gendarme, en permission, a fait évacuer un immeuble où un incendie s’était déclaré, le 28 août 2025. Un autre gendarme lui est venu en aide. Tous les occupants sont sortis indemnes.

Selon Actu Orléans, les faits se sont produits aux environs de midi. Le maréchal des logis-chef (MDC) Dorian, de la brigade de gendarmerie de Châteauneuf-sur-Loire, a été interpellé par des passants alors qu’il était hors service. Une personne serait sortie nue d’un immeuble d’où s’échappent des fumées après avoir jeté par la fenêtre des objets enflammés. Elle se serait réfugiée dans une pharmacie.

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Aucun blessé à déplorer dans l’immeuble

Le militaire se rend immédiatement sur place. Il constate alors la présence de fumée dans l’immeuble et un incendie dans l’un des appartements. Il décide alors de faire évacuer les logements. Au même moment, une patrouille de gendarmes passe dans le secteur. Le gendarme Alexis lui vient en aide pour mettre à l’abri les habitants. Son collègue, de son côté, se rend immédiatement au chevet de la personne qui a quitté son logement dans l’urgence. Elle présente des brûlures. Tous les occupants de l’immeuble sont sortis indemnes.

Maîtrisé rapidement, le feu a fait peu de dégâts dans l’immeuble. Aucun des deux gendarmes n’a été blessé. Par précaution, les deux gendarmes, qui ont évacué les habitants en étant exposé aux fumées, ont été examinés au CHU d’Orléans. Enfin, nos confrères précisent qu’aucune enquête n’a été ouverte car le feu est d’origine accidentelle.

La question du mois

Bruno Retailleau, pour lutter contre la violence et les narcotrafics en Guadeloupe, a confirmé l’installation de « deux escadrons de gendarmerie mobile, sans enlever le peloton de la garde républicaine », mais aussi de « deux brigades nautiques », une de gendarmerie et une de police respectivement en Basse-Terre à Gourbeyre et à Pointe-à-Pitre. Pensez-vous que cela sera une réponse satisfaisante ?

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