Dans le Calvados, un gendarme sauve la vie d’une femme qui s’étouffait avec une crêpe

Photo : La victime s'étouffait après avoir mangé une crêpe. (Photo d'illustration: Pixabay)

12 août 2025 | Opérationnel

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Dans le Calvados, un gendarme sauve la vie d’une femme qui s’étouffait avec une crêpe

par | Opérationnel

Une femme de 33 ans, qui avait perdu connaissance après une fausse route, a été sauvé par un gendarme, formé au secourisme, sur une plage du Calvados.

Sur la Côte de Nacre, à Luc-sur-Mer (Calvados), un gendarme a sauvé la vie d’une femme qui était en train de s’étouffer alors qu’elle mangeait une crêpe. Elle a été victime d’une fausse route. Les faits se sont produits dans l’après-midi du 8 août 2025. L’alerte a été donnée par son amie qui a débarqué, en panique, au poste provisoire de gendarmerie saisonnier.

« Un des gendarmes présents, formateur en secourisme, a immédiatement pratiqué les gestes de premiers secours : claques dans le dos et compressions abdominales (méthode Heimlich) », explique le groupement de gendarmerie départementale du Calvados sur sa page Facebook. Une première intervention qui, hélas, s’est avérée insuffisante. « Malheureusement, les techniques n’ont pas permis de dégager les voies respiratoires de la victime et cette dernière a perdu connaissance après un arrêt cardio-respiratoire ».

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Le gendarme lui prodigue un massage cardiaque

Sans perdre de temps, le gendarme, affecté au Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (Psig) de Lisieux, mais détaché au poste provisoire de Luc-sur-Mer pour la saison, « a entamé un massage cardiaque. Après de longues minutes d’efforts, le morceau empêchant la victime de respirer est sorti », confirment les gendarmes, ce qui a sauvé cette femme de 33 ans.

La victime a ensuite été prise en charge par les sauveteurs de la SNSM. « J’adresse ma plus grande reconnaissance au gendarme qui a sauvé cette personne. Je remercie vivement la gendarmerie d’assurer une présence estivale sécurisante à Luc-sur-Mer et sur la Côte de Nacre », a également salué Philippe Chanu, le maire de la commune.

La question du mois

Bruno Retailleau, pour lutter contre la violence et les narcotrafics en Guadeloupe, a confirmé l’installation de « deux escadrons de gendarmerie mobile, sans enlever le peloton de la garde républicaine », mais aussi de « deux brigades nautiques », une de gendarmerie et une de police respectivement en Basse-Terre à Gourbeyre et à Pointe-à-Pitre. Pensez-vous que cela sera une réponse satisfaisante ?

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