Les gendarmes qui vivent dans leur logement de fonction de la brigade de Levallois-Perret protestent contre la décision du conseil général des Hauts-de-Seine, propriétaire des murs, de les voir quitter les lieux pour le 1er août afin de créer un parc de logement social. Ils arguent d’un accord verbal leur accordant un délai de quelques mois supplémentaires. Dix logements sont concernés.
Les gendarmes qui vivent dans leur logement de fonction de la brigade de Levallois-Perret protestent contre la décision du conseil général des Hauts-de-Seine, propriétaire des murs, de les voir quitter les lieux pour le 1er août afin de créer un parc de logement social.