"Je dois être puni, c'est normal": à l'ouverture de son procès pour le meurtre de deux femmes gendarmes à Collobrières, Abdallah Boumezaar a une nouvelle fois reconnu les faits, oscillant entre agacement et volonté manifeste de dédouaner son ex-compagne, jugée pour complicité. Le procès est prévu jusqu'au 20 février.
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