Voilà bientôt dix jours qu’un gendarme adjoint volontaire de 23 ans est dans un état préoccupant, mais stationnaire, dans le service de réanimation du centre hospitalier de Pau (Pyrénées-Atlantiques).
Le 14 Juillet, cet homme du Peloton de surveillance et d’intervention de la Gendarmerie (Psig) de Pau assure la sécurité de la 10e étape du Tour de France (reliant Tarbes à La Pierre-Saint-Martin) lorsqu’il est percuté par un collègue, un motard de la Garde républicaine.
Le motard, âgé de 25 ans, était conscient à l’arrivée des secours ; il s’en est sorti avec divers traumatismes. En revanche, le militaire de 23 ans, lui, est toujours dans un état critique et son pronostic vital demeure incertain.
Percuté par un véhicule qu’il tentait de contrôler
Quelques jours plus tôt, le vendredi 10 juillet, un autre accident est survenu, en marge de la 7e étape du Tour de France (reliant Livarot à Fougères).
Sur le parcours, à Bourg-Saint-Leonard (Orne), un gendarme est percuté par un véhicule qu’il tentait de contrôler. A son bord, l’automobiliste venait de faire monter deux personnes auteurs de ventes à la sauvette. Blessé, le gendarme s’est vu délivrer deux jours d’ITT.
Bons rétablissements.Que de risques encourus par ces personnels sur le tour de France,couverture de l’étape et, l’escorte de la Garde républicaine . Bravo.
dans vos colonnes, je note que les suicides sont en augmentation, il y a un malaise qu’il est urgent de traiter car les conditions de vie sont actuellement de plus en plus pénibles à supporter.