Un arrêté publié ce jeudi au Journal officiel précise les coefficients du profil médical d’aptitude à servir. Les militaires de la Gendarmerie, comme leurs camarades des armées, doivent en effet disposer d’aptitudes techniques, physiques et psychiques conformes.
Cette aptitude globale, contrôlée par les médecins militaires, se voit exprimée sous l’acronyme Sigycop. Ainsi ce profil médical rassemble sept rubriques, chacune identifiée par un sigle et affectée d’un coefficient variable.
- S pour la ceinture scapulaire et aux membres supérieurs.
- I pour la ceinture pelvienne et les membres inférieurs.
- G pour l’état général.
- Y pour les yeux et la vision (sens chromatique exclu).
- C pour le sens chromatique.
- O pour les oreilles et l’audition.
- P pour psychisme.
Ce profil médical concerne les candidats à l’engagement ou au volontariat, ceux à l’engagement spécial dans les réserves et les militaires d’active et de réserve. Chaque armée, service ou la Gendarmerie précise les profils médicaux et les conditions requises pour l’aptitude médicale (engagement et spécialités).
Après la première visite médicale et l’engagement, chaque militaire soit subir une visite d’aptitude tous les deux ans (30 mois actuellement en raison de la Covid-19).
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PMG