Accueil/A la Une/DIAPORAMA – Avec les élèves de l’Ecole de Gendarmerie de Dijon
La formation des sous-officier s'appuie majoritairement sur la pratique. Quant à la partie théorique, elle est évaluée en continue à l'aide d'un logiciel appelé "hyperplanning". Ce logiciel facilite également la gestion des salles de cours et des emplois du temps. Crédit : M.Guyot/Essor.
DIAPORAMA – Avec les élèves de l’Ecole de Gendarmerie de Dijon
Reportage photo de « L’Essor » aux côtés des deux compagnies d’élèves gendarmes ayant rejoint l’école de Gendarmerie de Dijon entre le 17 octobre et début novembre. Une troisième compagnie devait compléter les effectifs dès le 14 novembre, portant à 375 le nombre d’élèves gendarmes accueillis par ce tout nouvel établissement de la Gendarmerie.
L’école de Gendarmerie de Dijon, établi sur la base aérienne 102 de Dijon-Longvic, a en effet ouvert ses portes le 1er septembre 2016. Il s’agit de la cinquième école de formation initiale des sous-officiers de Gendarmerie (Esog), avec Châteaulin, Chaumont, Montluçon et Tulle.
Une école pilote
Cette nouvelle école concentre les dernières avancées en matière d’instruction, de pédagogie et de matériel.
Davantage axées sur le numérique et l’apprentissage à distance, les formations sont réduites, passant de neuf à huit mois pour les promotions externes, et de neuf à six mois pour les promotions internes.
De même, l’encadrement des compagnies diminue, passant de 12 à sept cadres. La charge des cours est désormais répartie sur deux sections : la Section enseignement fondamentaux et intervention (Sefi) et la Section sécurité territoriale et flux (SESTF).
Objectif : absorber une partie de la hausse des effectifs
L’ouverture de l’école de Gendarmerie de Dijon doit permettre aux autres écoles, déjà surchargées, d’encaisser le choc de la hausse des effectifs prévue après les attentats de 2015. Ainsi, en 2016, les effectifs de la Gendarmerie auront augmenté de plus de 2.300 postes.
La première promotion sortira en juin 2017 et sera installée solennellement fin novembre par le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve.
D’ici à fin 2017, les effectifs de l’école de Gendarmerie de Dijon seront portés à 750 élèves répartis sur six compagnies.
La première promotion de l’école de Gendarmerie de Dijon sortira en juin 2017. Crédit : M.Guyot/Essor.
Des élèves de l’école de Dijon s’entraînent avec le Famas Crédit : M.Guyot/Essor.
Les fondamentaux de la progression tactique au quartier Geille. Ce quartier, situé au nord de l’école, est consacré à l’entraînement et aux manœuvres. Crédit : M.Guyot/Essor.
Avant de revêtir l’uniforme de sous-officiers, les élèves gendarmes passent la majeure partie de leur temps en treillis, plus commode pour les entraînements extérieurs. Crédit : M.Guyot/Essor.
Des élèves de l’école de Dijon s’initient aux rudiments du maniement du FAMAS (Photo M. Guyot L’Essor)
La formation des sous-officier s’appuie majoritairement sur la pratique. Quant à la partie théorique, elle est évaluée en continue à l’aide d’un logiciel appelé “hyperplanning”. Ce logiciel facilite également la gestion des salles de cours et des emplois du temps. Crédit : M.Guyot/Essor.
Des élèves gendarmes de l’école de Dijon s’exercent au maniement du Famas (Photo Mathieu Guyot L’Essor)
Les bases en matière d’armement consistent également à savoir réagir à un incident de tir. Crédit : M.Guyot/Essor.
De la théorie à la pratique pour les élèves de la deuxième compagnie. Ici, une vérification du déchargement de l’arme à l’aide d’un “tube à sable”. Crédit : M.Guyot/Essor.
Elèves en formation à l’école de Gendarmerie de Dijon. (Photo d’illustration/ M.Guyot/Essor).
Premier cours sur l’armement encadré par l’adjudant Alexandre Boudaillier (à gauche), en charge de la Section enseignements fondamentaux et intervention (Sefi) et l’adjudant Stéphane Alligny (à droite), responsable de la Section sécurité des territoires et des flux (SESTF). Crédit : M.Guyot/Essor.
Peu de répit est accordé aux élèves gendarmes dont les journées commencent à 5h30. Ils ne peuvent dormir qu’à partir de 22h30. Crédit : M.Guyot/Essor.
L’adjudant Guillaume Froidure, membre de la cellule Instruction tactique Gendarmerie et maintien de l’ordre (ITMO), explique le maniement du Famas à un groupe de la première promotion d’élèves gendarmes. Crédit : M.Guyot/Essor.
La première compagnie d’élèves gendarmes, issue d’un concours interne, passera 6 mois au sein de l’école de Gendarmerie. Auparavant établie à 9 mois, la formation de ces futurs sous-officiers a donc été réduite à l’école de Gendarmerie de Dijon. Crédit : M.Guyot/Essor.
A l’école de Gendarmerie de Dijon. Crédit : M.Guyot/Essor.
Cours généraux, marche au pas, habillement, connaissance des grades,…L’école de Gendarmerie vise à acquérir toutes ces connaissances théoriques et pratiques avant l’affectation des élèves en brigades. (Photo d’illustration/ M.Guyot/Essor).
Les élèves vérifient que le canon de l’arme ne contient pas de munitions. L’arme est insérée dans un “tube à sable” pour recueillir un tir accidentel pendant la manipulation. Crédit : M.Guyot/Essor.
Transition au pas de course entre la salle de cours et le réfectoire. Des bus permettent également de faire le lien entre les différents sites de l’école. Crédit : M.Guyot/Essor.
Premier cours sur l’armement pour la deuxième promotion (externe) d’élèves gendarmes. Crédit : M. Guyot/Essor.
—————-
Retrouvez également notre vidéo réalisée lors de la visite du général de corps d’armée Alain Giorgis, alors commandant des écoles de la Gendarmerie, à l’École de Gendarmerie de Dijon le 1er juin 2016. Voir.
Bonsoir,
j’espère que ces gendarmes seront sous la coupe du Ministre des armées,et non de l’intérieur.Ils travaillent avec du personnel de la police qui ont le droit de faire grève.Nous sommes des militaires. Notre budget nous est réservé et, ne doit pas être employé pour payer les heures sup.des policiers.Un ancien de la gendarmerie qui autrefois était la grande famille.
La Gendarmerie se doit d’être respectée.
APPRENNENT ILS COMMENT RECHERCHER LE RENSEIGNEMENT EN ALLANT AU CONTACT DES
ELUS ET DE LA POPULATION ?………..
UN RETRAITE DE LA BT ET MAIRE AJOINT DEPUIS UN CERTAIN NOMBRE D ANNEES
Augmenter les effectifs est une chose, augmenter le nombre de fonctionnaires armés et enseignés à l’arme à feu en est une autre. Pourquoi ne pas installer une pratique d’art martiaux par exemple, aussi convaincant et contenant mais moins meurtrier ? Le terrorisme ne devrait pas devenir un terrorisme d’Etat. Est-il besoin de rappeler que les gendarmes et policiers n’ont pas les armes à feu les plus performantes et s’en plaignent. Soyons sérieux, assez de mascarades macabres. L’arme à feu n’est pas un atout pour parvenir au respect citoyen. Choquée par ce diaporama, je me demande comment se font les recrutements.
Bonsoir,
j’espère que ces gendarmes seront sous la coupe du Ministre des armées,et non de l’intérieur.Ils travaillent avec du personnel de la police qui ont le droit de faire grève.Nous sommes des militaires. Notre budget nous est réservé et, ne doit pas être employé pour payer les heures sup.des policiers.Un ancien de la gendarmerie qui autrefois était la grande famille.
La Gendarmerie se doit d’être respectée.
Je ne reviens pas sur mes précédents commentaires.La vérité se doit d’être dite.
APPRENNENT ILS COMMENT RECHERCHER LE RENSEIGNEMENT EN ALLANT AU CONTACT DES
ELUS ET DE LA POPULATION ?………..
UN RETRAITE DE LA BT ET MAIRE AJOINT DEPUIS UN CERTAIN NOMBRE D ANNEES
Augmenter les effectifs est une chose, augmenter le nombre de fonctionnaires armés et enseignés à l’arme à feu en est une autre. Pourquoi ne pas installer une pratique d’art martiaux par exemple, aussi convaincant et contenant mais moins meurtrier ? Le terrorisme ne devrait pas devenir un terrorisme d’Etat. Est-il besoin de rappeler que les gendarmes et policiers n’ont pas les armes à feu les plus performantes et s’en plaignent. Soyons sérieux, assez de mascarades macabres. L’arme à feu n’est pas un atout pour parvenir au respect citoyen. Choquée par ce diaporama, je me demande comment se font les recrutements.