Il s’agirait d’un sympathisant de l’ultra-gauche. Un individu soupçonné d’être impliqué dans l’incendie de voitures de Gendarmerie au sein de la caserne Jourdan à Limoges est en prison. Identifié par les enquêteurs de la section de recherches de Limoges, il a été mis en examen pour “destruction criminelle par incendie, avec circonstance aggravante parce qu’il s’agit de véhicules de la force publique, et de faits survenus à l’intérieur d’une caserne”, a indiqué la Gendarmerie en précisant que l’enquête se poursuivait sous l’autorité d’un juge d’instruction annonce France Bleu Limousin
Dans la nuit du 18 au 19 septembre, cinq véhicules du groupement de gendarmerie de la Haute-Vienne, – trois sérigraphiés et deux bus blancs- avaient été détruits par l’incendie qui avait été revendiqué sur internet, par un mystérieux groupe inconnu baptisé “RAGE” (pour “Révolte anarchiste des gendarmes exilés »).
Deux jours après ce sinistre, des locaux techniques et des dizaines de véhicules avaient été incendiés dans la caserne Gendarme Hoffner qui abrite le
le groupement de Gendarmerie de l’Isère à Grenoble ainsi qu’un escadron de Gendarmerie mobile. Il avait été revendiqué sur un site
indymedia, fréquemment utilisé par des organisations d’extrême-gauche, et utilisé pour les faits de Limoges précise encore France Bleu Limousin.
La Gendarmerie de Meylan a également fait l’objet d’un incendie volontaire en octobre.