A gauche : Louise, 93 ans, elle participe, en tant qu’ambulancière, au débarquement en Provence, à la bataille du Monte Cassino et à la libération du camp de Dachau.
A gauche : Roland, 36 ans, il participe aux opérations extérieures au Kosovo (2000), au Tchad (2008) et en Afghanistan (2009).
A gauche : Abdoulaye, 104 ans, tirailleur sénégalais grièvement blessé en Belgique en 1914 et lors de la bataille de la Somme en 1916.
A droite : Moïse, 23 ans, blessé à la jambe lors de l’opération Serval au Mali.
A gauche : Pierre, 94 ans, ancien résistant déporté au camp de Natweiler en 1944.
A droite : François, 95 ans, ancien résistant déporté à Buchenwald. Crédit : DR.
A gauche : Georgette, 80 ans, adoptée par la Nation suite au décès de son père dans les bombardements de St-Lô en 1944.
A droite : Edwige, 57 ans, adoptée par la Nation suite à la mort de son père dans un attentat terroriste en Algérie en juillet 1961. Crédit : DR.
A gauche : Joseph, 76 ans, devenu aveugle à la suite d’un tir de torpille en 1915.
A droite : Laurent, 57 ans, blessé aux deux jambes par une explosion en Afghanistan (2011). Crédit : DR.
A gauche : Jean-Philippe, 30 ans, il a combattu en République Centrafricaine dans le cadre de l’opération Sangaris.
A droite : Lazare, décédé à 110 ans, il était le dernier poilu survivant. Crédit : DR.
Vue des canons de l’Hôtel des Invalides (Photo d’illustration ND/L’Essor)
Lydia, 27 ans, blessée au Bataclan
Des portraits de femmes et d’hommes touchés dans leur chair. Comme Marylène, 51 ans, blessée lors de l’attentat à la bombe contre le RER B (25 juillet 1995) ou Lydia, 27 ans, blessée au Bataclan, le 13 novembre 2015. Comme Omer, 71 ans, ancien parachutiste, rescapé de l’explosion de l’immeuble Drakkar à Beyrouth (23 octobre 1983) ou Medhi, 24 ans, rescapé de l’attentat du Caire (22 février 2009).
L’exposition se tiendra aux Invalides jusqu’au 4 janvier 2017 et à l’ossuaire de Douaumont du 4 novembre au 30 décembre 2016.
Créé en 1916 durant la Première Guerre mondiale, l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre est un établissement public, sous tutelle du ministère de la Défense, chargé de préserver les intérêts matériels et moraux de ses trois millions de ressortissants.